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Qu’est-ce qu’un périphérique et à quoi sert-il ?

Les périphériques sont un élément essentiel d’un PC, car une bonne expérience utilisateur dépend en grande partie d’eux. C’est pourquoi nous avons élaboré ce guide complet sur tout ce que vous devez savoir à leur sujet.

Les périphériques sont les dispositifs par lesquels l’ordinateur communique avec le monde extérieur, ainsi que les systèmes qui stockent l’information, servant de mémoire auxiliaire à la mémoire principale, qu’elle soit située à l’extérieur ou à l’intérieur de l’ordinateur.  Les périphériques ne doivent pas être confondus avec les dispositifs de support de l’information, qui sont des supports physiques sur lesquels l’information est écrite, par exemple un CD, un DVD, une disquette…

Les unités fonctionnelles de l’ordinateur et les périphériques communiquent via les bus série (COM, USB…) et parallèle (LPT1, LPT2). Ceux-ci peuvent être connectés au bus système soit directement, soit par l’intermédiaire de circuits appelés interfaces. La grande diversité avec des caractéristiques différentes nécessite la présence d’interfaces spéciales pour adapter les caractéristiques des périphériques à celles du bus système.

Types de périphériques

Les périphériques peuvent être classés en : unités d’entrée, unités de sortie et unités de mémoire de masse auxiliaire.

Périphériques d’entrée

Les périphériques d’entrée sont ceux qui permettent l’entrée d’informations dans l’ordinateur, les plus importants étant :

Le clavier

Il s’agit d’un dispositif analogue à une machine à écrire, dans lequel chaque touche correspond à un ou plusieurs caractères, fonctions ou commandes. Pour sélectionner l’un des caractères d’une touche, il peut être nécessaire d’appuyer simultanément sur deux ou plusieurs touches. Les caractéristiques techniques d’un clavier comprennent le nombre de caractères et de symboles de base, la sensibilité de la frappe, le type de contact des touches (à membrane ou mécanique), le poids, la taille, la portabilité, l’ergonomie, les fonctionnalités supplémentaires telles que le lecteur de bande magnétique, le lecteur et l’enregistreur de cartes à puce, etc.)

L’interface entre le clavier et l’ordinateur peut être filaire ou sans fil, via des signaux infrarouges ou de radiofréquence. Avec la souris, il s’agit pour nous d’un des périphériques les plus importants.

La souris

La souris à l’origine était constituée d’une boule qui pouvait tourner librement et que l’on actionnait en la faisant rouler sur une surface plane. Les souris actuelles ont remplacé la boule par un système de diode optique ou de laser infrarouge. L’activation de la souris associe sa position à celle du curseur sur l’écran, de sorte que le curseur suit les mouvements de la souris lorsqu’elle se déplace sur une surface.

Le concept de la souris a été étendu par l’introduction d’autres dispositifs analogues tels que la boule de commande, qui consiste en une boule fixe que l’on fait tourner avec les doigts, le pavé tactile, qui utilise un panneau sensible à une légère pression du doigt, ou le bâton de pointage, un petit cylindre vertical. Tous ces dispositifs sont utilisés sur les claviers d’ordinateurs portables et utilisent des interfaces de connexion analogues à celles des claviers.

Stylet

Le stylet est l’un des périphériques les plus modernes, du moins dans le secteur de l’utilisation domestique. Il s’agit d’un dispositif associé aux écrans tactiles. En activant le stylet devant un point de l’écran, on obtient les coordonnées de l’endroit où le stylet a été pointé.

Écran sensible au toucher ou tactile

Il s’agit d’écrans capables de détecter les coordonnées de la zone de l’écran touchée par un stylet. Ces écrans peuvent être capacitifs ou résistifs, selon qu’ils ont besoin ou non de la conductivité électrique du stylet pour fonctionner.

Numériseur

Ces appareils permettent de transférer à l’ordinateur une représentation numérique de graphiques, de figures, de plans, de cartes ou de dessins en général. Pour ce faire, on fait glisser manuellement une pièce mobile sur la ligne à numériser, ce qui transfère les coordonnées des points qui forment l’image.

Dispositifs de lecture

Il s’agit d’alternatives au clavier qui sont utilisées lorsqu’une grande quantité d’informations doit être fournie à l’ordinateur rapidement et en réduisant le risque d’erreurs. Parmi les plus courants, on peut citer les suivants.

Le scanner

Il s’agit de dispositifs qui permettent de scanner des images ou des documents imprimés, qui sont traités par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR) et dont le texte original est généré dans le format des éditeurs de texte les plus courants.

Détecteur de bande magnétique

Les détecteurs de bandes magnétiques utilisent des signaux électromagnétiques pour enregistrer et coder des informations sur une bande magnétisée, qui peut être lue par une machine. Ces bandes magnétiques sont présentes dans un grand nombre d’objets de la vie quotidienne tels que les cartes de crédit, les cartes de santé, les billets d’avion et bien d’autres encore.

Lecteur de carte à puce

Les cartes à puce sont des cartes de taille similaire aux cartes de crédit, mais qui intègrent un circuit électronique et une petite mémoire capable de stocker beaucoup plus de données qu’une bande magnétique.

Lecteurs de marques et de codes-barres

Ils peuvent lire des codes-barres ou des marques prédéfinies. Ce sont les lecteurs typiques que l’on trouve dans tous les supermarchés à la caisse.

Capteurs

Les capteurs sont des dispositifs électroniques créés pour mesurer des propriétés physiques, telles que la température, la pression, l’humidité, etc. Ils sont largement utilisés dans l’industrie, les laboratoires, l’instrumentation médicale et la météorologie. Les systèmes biométriques, utilisés pour le contrôle d’accès et les applications de sécurité, utilisent des informations sur une caractéristique physiologique comme moyen d’identification personnelle.

Dispositifs de sortie

Les périphériques de sortie servent de fenêtre à sens unique entre l’ordinateur et l’utilisateur.

Moniteur ou écran

Un écran est une surface lisse, plate et blanche, en textile ou en plastique, sur laquelle sont projetées des images cinématographiques ou photographiques. Diverses technologies et caractéristiques sont utilisées, notamment les suivantes :

  • Tube cathodique (CRT).
  • Affichage à cristaux liquides (LCD).
  • Plasma.
  • OLED.

Toutes ces technologies ont en commun le fait que l’image n’est pas continue, mais qu’elle est formée d’une multitude de points d’image appelés pixels. Ces pixels sont regroupés pour former un réseau régulier de points d’image. La résolution d’un écran est le nombre de points d’image sur un écran, c’est une valeur indépendante de la taille de l’écran.

Imprimante

Les écrans affichent les résultats de manière temporaire, il est donc nécessaire de disposer d’un système d’impression si l’on veut avoir une copie permanente des données. Les imprimantes peuvent être classées en fonction de certaines de leurs caractéristiques :

Selon la qualité d’impression :

  • Normale : imprimantes à lignes, imprimantes à roues et imprimantes thermiques.
  • Qualité moyenne : certaines imprimantes matricielles.
  • Haute qualité : imprimantes à marguerite, à encre et laser.

Selon le système d’impression :

  • Imprimantes à impact : Traditionnellement très utilisées, elles sont bruyantes et ne sont donc plus utilisées. Il s’agit des imprimantes à roue, à boule, à marguerite, matricielles, à cylindre et à chaîne.
  • Imprimantes sans impact : Elles forment les caractères sans avoir recours à des traits et utilisent d’autres principes physiques pour transférer les images sur le papier. Ce sont celles qui sont utilisées aujourd’hui, notamment les imprimantes à jet d’encre, les imprimantes électrostatiques, les imprimantes à diodes électroluminescentes et les imprimantes laser.
  • Imprimantes à jet d’encre : Il s’agit d’imprimantes de caractères dont le problème est leur relative lenteur.
  • Imprimantes électrostatiques : Ce sont des imprimantes à lignes très rapides.
  • Imprimantes laser : Elles sont largement utilisées en raison de leur vitesse élevée, de leur qualité d’impression, de leur prix relativement bas et de la possibilité d’utiliser du papier normal.
  • Imprimantes LED : Elles sont analogues aux imprimantes laser, à la seule différence que l’image est générée par une rangée de diodes, au lieu d’un laser.

Toutes les imprimantes sont caractérisées par une série de paramètres, dont les plus importants sont les suivants :

  • Vitesse d’écriture.
  • Caractères par ligne.
  • Largeur du papier ou longueur du chariot en pouces.
  • Densité des lignes par pouce et espacement des lignes.
  • Les polices de caractères que l’imprimante peut utiliser.
  • Couleur ou niveaux de gris.
  • Résolution.

Les imprimantes font partie des périphériques les plus utilisés en entreprise et à la maison.

Périphériques sans fil ou câblés

L’un des premiers doutes que l’on peut avoir lors de l’achat d’un nouveau périphérique est de savoir s’il faut opter pour un modèle sans fil ou avec câble. A priori, un périphérique sans fil est plus pratique puisqu’on n’aura pas le problème des enchevêtrements de câbles et qu’on bénéficiera d’une plus grande liberté de mouvement.

Mais tout n’est pas rose dans la technologie sans fil, ce type de périphérique est plus sujet aux interférences, son autonomie est limitée en raison de la capacité restreinte de la ou des batteries, et la communication avec le PC a plus de retard, ce que l’on appelle la latence. Au cours des dernières années, tous ces problèmes ont été minimisés et on trouve aujourd’hui des souris et des claviers qui durent un an et demi avec deux ou trois piles, qui ont la même latence qu’un modèle filaire et qui ne souffrent pas d’interférences.

Le problème de l’autonomie de la souris commence à être résolu maintenant, avec des tapis de souris qui alimentent la souris pour qu’elle se charge en permanence, par exemple le Razer Mamba Hyperflux ou le Corsair Corsair Dark Core RGB, l’inconvénient de ces deux derniers est que l’ensemble souris + tapis de souris coute environ 200 euros, voire plus.

Les périphériques sans fil peuvent fonctionner avec la technologie Bluetooth ou avec un récepteur radiofréquence dédié qui se connecte via USB. Les modèles Bluetooth consomment moins d’énergie et peuvent être utilisés sur plusieurs ordinateurs de manière plus pratique, bien qu’ils présentent des inconvénients, comme le fait qu’ils ne peuvent pas être utilisés tant que le système d’exploitation n’a pas chargé le pilote Bluetooth, ce qui fait qu’il est impossible d’utiliser le BIOS avec eux, par exemple. Ce n’est pas le cas des souris basées sur la radiofréquence, car elles ne dépendent d’aucun pilote.

Ce qu’il faut rechercher dans une souris

Il existe trois types de souris, chacun ayant un profil d’utilisation très différent :

  • Souris de jeu : ce sont les souris les plus avancées et les plus performantes, mais aussi les plus chères pour les mêmes raisons. La plupart d’entre elles sont dotées de boutons aux fonctions programmables par logiciel, d’un design très confortable dans la main et d’un capteur d’une précision maximale pour ne rater aucun tir, ou du moins pour que ce ne soit pas la faute de la souris si l’on rate son coup.
  • Souris ergonomiques : ce type de souris a été créé pour éviter le problème du syndrome du canal carpien, qui survient chez certaines personnes qui passent de nombreuses heures par jour à utiliser la souris. La conception de ces souris rend la position de la main lors de l’utilisation beaucoup plus naturelle.
  • Souris pour les voyageurs : elles sont petites et légères, ce qui les rend plus faciles à transporter, et elles sont généralement sans fil. L’inconvénient est qu’elles sont plus inconfortables à utiliser et que leurs performances ne sont généralement pas les meilleures.

Par ailleurs, toutes les souris présentent les caractéristiques suivantes :

  • Capteur optique ou laser : le capteur de la souris peut être optique ou laser, bien que les premiers soient de moins en moins utilisés. Les premiers capteurs optiques avaient des difficultés à fonctionner sur des surfaces telles que le bois ou le verre, mais au fur et à mesure de leur évolution, ces problèmes ont été résolus, tout en offrant une précision supérieure à celle des lasers. Aujourd’hui, presque toutes les souris sont optiques.
  • Sensibilité du capteur : détermine la quantité de mouvement du curseur pour chaque unité d’espace que l’on déplace avec la souris ; plus la sensibilité est élevée, plus le curseur se déplace, mais avec moins de précision. Les valeurs actuelles vont généralement de 1000 à 16 000 DPI ou même plus, vous n’aurez guère besoin de plus de 2000-3000 DPI, les valeurs plus élevées obéissent à une raison marketing, pour faire croire que plus c’est toujours mieux, ce qui n’est pas forcément vrai.
  • Poids de la souris : le poids de la souris est un autre facteur important. Une souris légère sera plus facile à déplacer, mais elle sera peut-être moins précise. En général, nous avons tendance à rechercher les souris les plus légères possibles, 100 grammes ou moins.

Il existe trois types de poignées de souris : Palm grip, Claw grip et Fingertip grip

Palm grip (paume)

Il s’agit de la prise la plus courante pour la souris, le poids de la main reposant directement sur la souris. Le grand avantage de ce type de prise est qu’il évite l’inconfort qui peut survenir au niveau du poignet lors du déplacement du périphérique, c’est pourquoi il est particulièrement recommandé pour les joueurs. Son inconvénient est qu’il ne permet pas des mouvements aussi rapides que les autres grips. La souris Razer DeathAdder est l’une des meilleures souris pour ce type de prise.

Claw grip (griffe)

Dans ce type de prise, les doigts sont arqués et la paume repose sur le dos de la souris. Cette prise sera plus ou moins longue selon la taille de la main, car les doigts doivent être arqués. L’avantage de cette prise est qu’elle est plus précise et plus rapide que la prise palmaire dans les mouvements, mais elle a l’inconvénient de faire souffrir davantage le poignet lors de longues sessions. La plupart des souris sont très bien adaptées à ce type de prise, la Razer DeathAdder et la Logitech G603 sont de très bons choix.

Fingertip grip (bout des doigts)

C’est la prise la plus étrange des trois, sa particularité est que la paume de la main ne repose pas sur la souris, mais seulement le bout des doigts. Cette prise est la plus rapide de toutes et permet de réagir plus rapidement, car le mouvement est effectué par le poignet et non par le bras. Ses inconvénients sont une moindre précision et une plus grande fatigue du poignet. Elle est idéale pour les petites souris.

Un tapis de souris en vaut-il la peine ?

Le but d’un tapis de souris est de fournir la meilleure surface possible pour faire glisser la souris. Les souris ont beaucoup évolué et sont capables de travailler sur une grande variété de surfaces, ce qui rend le tapis de souris moins important qu’il y a quelques années. Pour être honnête, je n’utilise pas régulièrement de tapis de souris et ma souris fonctionne parfaitement sur le bois de mon bureau.

Le fait de ne pas en avoir besoin ne signifie pas qu’un tapis de souris ne peut pas nous aider à améliorer notre utilisation de la souris. Cela vaut donc la peine d’en essayer un. Aujourd’hui, on trouve des tapis de souris dont les dimensions vont des modèles miniatures de 24,89 x 21,08 centimètres aux modèles XXL de 91 x 45 centimètres, voire plus. Le choix de la taille du tapis dépend essentiellement de l’espace dont vous disposez,

Les tapis de souris les plus avancés intègrent des systèmes de recharge sans fil pour les souris sans fil, qui forment un duo parfait pour que votre souris ne soit jamais à court d’énergie. Le Corsair MM1000 et le Razer Firefly Hyperflux en sont des exemples, mais l’inconvénient est qu’ils sont très chers, environ 100 euros ou plus.

Le tapis de souris peut être particulièrement recommandé si vous jouez à des jeux de compétition ou si vous utilisez la souris de manière très intensive, car vous risquez d’endommager le périphérique ou la surface qui se trouve en dessous. Un tapis de souris standard coûte entre 10 et 20 euros, ce qui n’est pas une grosse dépense.

Comment choisir un clavier, à membrane ou mécanique ?

La première question qui se pose lors de l’achat d’un clavier est de savoir s’il est préférable d’opter pour un modèle mécanique ou à membrane, la réponse n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît au premier abord. Il est vrai que les claviers mécaniques sont les périphériques qui offrent la meilleure sensation d’utilisation et sont beaucoup plus durables, mais il faut tenir compte du fait qu’ils sont beaucoup plus bruyants et beaucoup plus chers. Pouvez-vous imaginer taper sur un clavier mécanique dans un bureau avec dix autres personnes ? Ce n’est pas très agréable. Les claviers à membrane sont beaucoup plus silencieux, mais leur durée de vie est plus courte et l’expérience est bien moins bonne qu’avec un clavier mécanique. Pour répondre à cette question, vous devez déterminer ce qui est le plus important pour vous, le silence ou la meilleure expérience utilisateur, sans oublier vos possibilités financières.

Quel type de clavier mécanique dois-je acheter pour le jeu ?

Si vous optez pour un clavier mécanique, la question se pose de savoir quels commutateurs choisir. En ce qui concerne le fabricant, Cherry MX est le leader incontesté en matière de qualité, et c’est donc lui que vous devez choisir si vous voulez ce qu’il y a de mieux. La question suivante est de savoir quelle variante de commutateur choisir, car Cherry propose des commutateurs bleus, rouges, bruns, noirs, argentés et bien d’autres encore. Les commutateurs rouges sont les plus couramment utilisés pour les jeux, et les commutateurs bruns tendent à être l’option polyvalente la plus populaire.

La question suivante est de savoir s’il faut opter pour un clavier plein format ou un modèle TKL, ce dernier éliminant le pavé numérique à droite pour offrir un produit plus compact. Les claviers TKL sont plus adaptés aux jeux, car les mains sont plus proches et dans une position plus naturelle.

Les différents types de casques et celui qui me convient le mieux

Pour choisir un nouveau casque, il faut d’abord différencier les différents types qui existent :

  • Écouteurs : les plus courants et les moins chers sont les écouteurs, qui sont généralement fournis avec les téléphones portables et d’autres appareils bon marché. Ce modèle présente l’inconvénient de laisser s’échapper beaucoup de son, ce qui nécessite un volume sonore plus élevé.
  • Intra-auriculaires : très populaires de nos jours, ils ont pour principale caractéristique d’inclure un coussinet en silicone qui est inséré dans l’oreille externe, ce qui assure une bonne étanchéité et une meilleure isolation des bruits extérieurs. Ils offrent un son de meilleure qualité que les précédents, bien qu’ils exercent une plus grande pression sur l’oreille interne, et peuvent donc être plus nocifs si le volume est élevé.
  • Supra-auriculaires : ce sont les écouteurs qui se placent sur la tête et couvrent toute l’oreille. Ils sont les plus confortables à porter et offrent le meilleur son et la meilleure isolation, bien qu’ils soient grands et lourds, idéaux pour une utilisation à la maison, mais pas dans la rue.

Connexion USB ou 3,5 mm

Une fois le type de casque choisi, il faut penser à d’autres caractéristiques telles que le type de connexion. Les casques actuels peuvent fonctionner soit avec une connexion USB, soit avec une connexion jack 3,5 mm. Les casques USB ont leur propre carte son et n’utilisent pas la carte son du PC, donc si vous avez une carte son haut de gamme dans votre ordinateur, vous la gaspillerez.

Les écouteurs dotés d’une prise jack de 3,5 mm se branchent sur la carte son de l’ordinateur et l’utilisent donc. Ils sont idéaux si vous disposez d’une carte son haut de gamme, car les casques USB ont tendance à être de mauvaise qualité.

Un casque sel ou une combinaison d’un casque et d’un microphone en vaut-il la peine ?

La question suivante est de savoir si un casque vaut la peine. Les casques qui intègrent un microphone sont des modèles destinés aux joueurs, car ils leur permettent de communiquer avec leurs camarades de jeu d’une manière beaucoup plus confortable. Leur inconvénient est qu’avec l’engouement actuel pour les jeux, la plupart des fabricants se concentrent davantage sur des designs audacieux que sur ce qui compte vraiment, la qualité du son.

En général, la combinaison d’un casque et d’un microphone de bureau vous donnera une bien meilleure qualité sonore qu’un casque, et souvent pour moins cher, mais le problème est qu’il prend plus de place. Un autre périphérique super-important que nous négligeons souvent

Les caractéristiques les plus importantes des écrans

Enfin, parlons des caractéristiques les plus importantes que vous devez rechercher dans un écran lorsque vous en choisissez un. La première chose à observer est le type de panneau dont il est équipé, qui est le principal déterminant de ses propriétés et de ses caractéristiques. Les principaux types de panneaux des moniteurs PC sont les suivants.

Différents types d’écran :

  • Nématiques torsadées (TN) : ce sont les écrans les plus rapides et les plus adaptés aux jeux ou aux vidéos comportant beaucoup de mouvements. L’inconvénient est que la gamme de couleurs est la plus pauvre et que les angles de vision sont réduits.
  • Alignement vertical (VA) : ils ont été développés pour atténuer les faiblesses des écrans TN, ce qui permet une meilleure représentation des couleurs et des angles de vision beaucoup plus larges.
  • IPS (In Plane Switching) : ces dalles ont été développées après les dalles VA pour améliorer encore le rendu des couleurs, ce qui constitue leur principal atout, ainsi que des angles de vision parfaits.

Une bonne dalle dans un écran, qui est un périphérique fondamental dans la configuration de notre PC, est essentielle. Nous recommandons toujours de choisir un écran IPS de très bonne qualité.

L’importance de la taille et de la résolution

Une fois que nous avons choisi le type d’écran, nous devons réfléchir à sa taille. En général, les écrans les plus courants sont ceux de 27 pouces, qui sont devenus très populaires ces dernières années, car ils offrent une surface de visualisation assez grande et leur taille sur le bureau n’est pas excessive.

L’étape suivante consiste à choisir la résolution, qui dépend de la taille de votre moniteur. Plus la taille de l’écran est grande, plus la résolution doit être élevée pour que l’image reste nette. Sur un écran de 22 pouces, il sera difficile de voir la différence entre une résolution 1080p et une résolution 2K ou 4K, une situation très différente de celle d’un écran de 27 pouces, où la différence entre 1080p et 2K ou 4K est déjà très perceptible.

Le taux de rafraîchissement est le dernier réglage important

Enfin, le taux de rafraîchissement représente le nombre de fois que l’écran rafraîchit l’image par seconde, mesuré en hertz (Hz). Plus le taux de rafraîchissement est élevé, plus l’écran donnera une impression de fluidité dans les jeux comportant un grand nombre de mouvements. 60 Hz est le minimum que vous devriez exiger d’un moniteur de jeu, bien que si vous allez jouer à beaucoup de jeux de tir, vous devriez opter pour un moniteur de 120 Hz, car les moniteurs de 240 Hz seront très difficiles à exploiter au maximum.

Ceci est la fin de notre guide sur les périphériques PC, si vous avez des questions, n’hésitez pas à laisser un commentaire.

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